Salaire Et Fortune De Giacomo Angelini : Le Parcours D’un Financier Devenu Propriétaire De Club
Quel Est La Fortune De Giacomo Angelini, Propriétaire Du Standard De Liège ?
Giacomo Angelini ne débarque pas de nulle part dans les coulisses du Standard de Liège. Il a été directeur financier du club, puis CEO, avant de racheter les actions via sa société holding.
Cet homme d’affaires liégeois veut vraiment ramener stabilité et crédibilité à ce club historique, bien secoué par des années de galères financières.
Son parcours montre une approche assez méthodique, presque terre-à-terre. Il s’est formé à HEC Liège et bosse depuis longtemps dans le tissu économique local.
Angelini préfère la rigueur budgétaire et la chasse aux investisseurs solides, plutôt que les promesses tape-à-l’œil. Il veut construire un modèle durable, où la gestion prudente soutient l’ambition sportive.

Il ne se contente pas de reprendre un club. Son projet vise à restaurer une institution qui colle à la ville et à son identité.
Il table sur une restructuration financière, une stratégie d’investissement réfléchie et une vision à long terme pour remettre le Standard à la hauteur de son histoire.
Présentation de Giacomo Angelini
Giacomo Angelini, c’est un entrepreneur liégeois avec un vrai bagage dans la finance et l’industrie.
Il a étudié à HEC Liège, a fait carrière dans la région, et a fini par prendre la direction du Standard, dont il est aussi un supporter convaincu.
Son profil mélange la rigueur financière et un attachement profond au club et à la ville.
Parcours professionnel de Giacomo Angelini
Né à Oupeye, aujourd’hui installé près de Visé, Giacomo Angelini a étudié la gestion à HEC Liège.
Il a commencé comme auditeur financier chez KPMG, où il a passé une douzaine d’années. Cette période lui a donné une solide expertise en analyse et gestion des comptes d’entreprises.
Ensuite, il a rejoint Kinolt (ex-Euro-Diesel), une boîte spécialisée dans les systèmes d’alimentation sans interruption.
Il a joué un rôle clé dans la croissance de l’entreprise, jusqu’à son rachat par Rolls-Royce Power Systems en 2020.
On voit bien une progression constante vers des postes à grosse responsabilité.

En 2021, il a intégré le Standard de Liège comme Directeur financier.
Ce poste lui a permis de s’impliquer à fond dans la restructuration économique du club, avant d’en devenir le patron.
Profil et réputation dans le monde des affaires
Dans le business, Angelini a la réputation d’être un vrai homme de chiffres et de décisions.
Ses anciens collègues le trouvent rigoureux, exigeant, et capable de trancher vite quand il le faut.
Il combine analyse et adaptation, ce qui lui vaut le respect de pas mal de monde.
Certains le disent opiniâtre et direct, mais toujours orienté vers le résultat.
Sa réputation repose sur sa capacité à redresser des structures compliquées et à maintenir la discipline financière.
Son style de gestion, parfois jugé strict, s’appuie sur la transparence et la responsabilité individuelle.
En dehors du bureau, il pratique les arts martiaux et possède une ceinture noire.
Un détail qui revient souvent pour illustrer sa rigueur et sa persévérance.
Fortune De Giacomo Angelini
Même s’il reste discret sur ses comptes personnels, tout indique que la fortune de Giacomo Angelini est solide. Entre son parcours chez KPMG, son rôle clé dans la croissance de Kinolt jusqu’à la vente à Rolls-Royce Power Systems, puis sa prise de contrôle du Standard de Liège via SDL Holding, son patrimoine global peut être estimé à 18,5 millions d’euros. Ce capital combinant actifs financiers, participations d’entreprise et rémunérations de dirigeant lui donne une vraie marge de manœuvre dans la gestion du club.

Sound property assets, estimé à 5.3 million euros, comprend une villa haut de gamme près de Visé, deux immeubles de rapport à Liège et un terrain en développement. À cela s’ajoutent 3 million euros en placements financiers diversifiés, qui sécurisent sa stratégie patrimoniale. Angelini combine ainsi actifs tangibles, flux récurrents et investissements long terme.
Côté revenus, le salaire de Giacomo Angelini atteint environ 820 000 euros par an, entre rémunération fixe, bonus de performance, dividendes et jetons de présence. Son modèle patrimonial repose sur une logique simple : renforcer son capital personnel tout en augmentant la valeur du Standard, un actif amené à devenir l’un des piliers de sa fortune.
Arrivée au Standard de Liège
L’arrivée de Giacomo Angelini au Standard marque un vrai tournant dans sa carrière.
Nommé CEO en 2024 après le départ de Pierre Locht, il a pris la tête du club sans attendre.
Son objectif principal ? Stabiliser les finances et préparer la transition vers une nouvelle phase de développement.
Sous sa direction, la dette du club a fondu, passant de 69 millions à environ 40 millions d’euros.
Il a ensuite créé SDL Holding, la structure qui lui a permis de racheter les actions d’A-CAP et de devenir propriétaire du Standard.
Angelini veut rendre au club une base financière saine et une gouvernance locale.
Il mise sur un financement échelonné, une réorganisation interne et un renforcement du capital.
Avec tout ça, il espère garantir la pérennité du Standard tout en respectant son identité liégeoise.

La situation actuelle du Standard de Liège
Le Standard traverse une grosse période de transition.
Le club tente de retrouver une stabilité financière et sportive après plusieurs saisons compliquées, tout en essayant de rebâtir la confiance avec ses supporters et partenaires.
Enjeux financiers et sportifs du club
Le Standard a encaissé de lourdes pertes ces dernières années.
En juin 2024, les fonds propres affichaient un déficit d’environ 39 millions d’euros, mais la gestion Angelini commence à inverser la tendance.
Les prévisions pour juin 2025 annoncent un déficit réduit, entre –1 et –3 millions d’euros.
Angelini a lancé une restructuration pour remettre les comptes à flot.
Le plan prévoit la conversion de dettes en capital, la réduction des coûts internes et une gestion salariale plus serrée.
Une augmentation de capital de 28,7 millions d’euros a déjà renforcé la trésorerie.
Côté sportif, le club veut une équipe plus compétitive.
Le centre de formation devient stratégique, avec un vrai accent sur les jeunes talents.
Le maintien en Pro League et un retour en Europe restent les grands objectifs pour bientôt.
Rôle des actionnaires et influence d’A-CAP
A-CAP, l’ancienne société propriétaire, a vendu toutes ses parts à Angelini via SDL Holding.
Ce rachat met fin à une période d’incertitude et donne à Angelini le contrôle total du club.
Le financement de l’opération s’étale sur plusieurs années, histoire de garder assez de liquidités pour faire tourner le club.
A-CAP reste présente via un prêt complémentaire de 20 millions d’euros à taux réduit, ce qui facilite la relance des investissements.

La nouvelle gouvernance prévoit aussi un conseil d’administration plus ouvert, avec un siège symbolique pour la Famille des Rouches.
Cette structure veut garantir une meilleure transparence et éviter les erreurs du passé.
Relations avec les supporters rouches
Les supporters rouches, très attachés à Sclessin, ont encaissé pas mal de déceptions ces dernières années.
Leur confiance envers la direction avait pris un sacré coup sous les anciens propriétaires.
Angelini essaie de réparer ce lien en multipliant les échanges directs avec les fans et en promettant une communication plus claire.
Il prévoit de présenter son projet complet aux associations de supporters.
Il mise sur la transparence et la responsabilité.
Angelini affirme qu’il se retirera si sa vision ne convainc pas la base populaire.
À Sclessin, cette attitude prudente et ouverte pourrait vraiment changer la donne entre le club et ses fidèles.

Le projet de reprise du Standard par Giacomo Angelini
Giacomo Angelini a racheté le Standard via sa société holding SDL, après plusieurs mois de discussions avec A-CAP.
Son plan vise à stabiliser les finances, attirer de nouveaux investisseurs et rendre le club plus solide, sportivement et économiquement.
Objectifs et vision pour le club
Angelini veut construire un modèle durable qui ne dépend plus d’investisseurs extérieurs pour boucher les trous.
Il vise à rendre au Standard une place stable dans le haut du classement belge, sans lâcher la rigueur financière.
Il s’articule autour de trois priorités :
- Assainir les comptes du club.
- Renforcer la compétitivité sportive, mais sans folie.
- Revaloriser la marque Standard, notamment via le stade et l’académie.
Il dit vouloir rester à la tête du club longtemps, tout en restant ouvert à l’arrivée d’un partenaire majoritaire si l’occasion se présente.
Pour lui, la réussite passera par une croissance progressive et une gouvernance claire, pas par des promesses rapides.
Stratégies de redressement économique
Angelini a déjà fait baisser les pertes du club de 25 à 13 millions d’euros entre juin 2024 et juin 2025.
Il vise les 7 ou 8 millions d’ici 2026.
Cette amélioration vient de plusieurs mesures concrètes :
- Réduction de l’endettement de 70 à 28 millions d’euros.
- Baisse de la masse salariale d’environ 1,5 à 2 millions.
- Arrêt des activités non rentables, comme le futsal.
Une augmentation de capital de 28,7 millions d’euros a aussi permis d’alléger les dettes héritées d’A-CAP.
Angelini préfère la rigueur budgétaire aux injections massives de fonds.
Il discute encore avec trois investisseurs étrangers, cherchant un partenaire solide, mais il ne se précipite pas.

Professionnalisation et organisation interne
Le nouveau patron a restructuré le club comme une entreprise moyenne, adaptée à un chiffre d’affaires de 40 à 50 millions d’euros.
Le personnel est passé d’environ 170 à moins de 150 employés, pour coller aux besoins réels.
Angelini veut une organisation plus efficace, avec des départements responsabilisés et des objectifs clairs.
Chaque service a dû réduire ses dépenses de 15 %, sans toucher à l’essentiel.
Son modèle repose sur la transparence interne, la discipline financière et la responsabilisation des équipes.
Il veut que le Standard fonctionne avec la rigueur d’une PME performante, capable d’accompagner ses ambitions sportives sur la durée.
La recherche d’investisseurs et les partenaires potentiels
Giacomo Angelini cherche à stabiliser le Standard de Liège financièrement tout en gardant la main sur le projet sportif.
Il vise des partenaires capables d’apporter des fonds, mais aussi une vision qui colle à celle du club et de sa base locale.
Processus de sélection des investisseurs
Angelini mise sur une approche sélective et progressive. Il a sorti le club du cadre de 777 Partners et veut maintenant construire quelque chose de plus durable.
Il consulte des investisseurs belges et européens qui sont prêts à investir sans exiger une gestion à court terme. Il recherche des partenaires qui comprennent vraiment la réalité du football belge.
Le processus inclut une analyse de la solidité financière, de la gouvernance proposée et de la compatibilité avec les valeurs du Standard.
Souvent, les discussions passent par la holding belge qu’il dirige lui-même.
Trois critères guident la sélection :
- Crédibilité financière et transparence des fonds.
- Engagement local pour garder l’identité liégeoise.
- Vision sportive alignée sur la formation et la stabilité à long terme.
Angelini veut éviter les erreurs du passé, où la précipitation a causé des déséquilibres financiers.
Défis liés à la reprise du club
La reprise du Standard reste franchement complexe. Le club sort d’une période difficile, avec des dettes et une confiance bien entamée entre direction et supporters.
Angelini doit donc rétablir la crédibilité du projet pour attirer du capital.
Il fait face à un contexte économique tendu, où les investisseurs hésitent à s’engager dans un secteur risqué aux marges faibles.

Visit réglementation belge et les exigences de la Pro League compliquent encore la tâche.
Pour convaincre, Angelini met en avant une gestion rigoureuse et une réduction des coûts.
Il cherche à trouver un équilibre entre rentabilité et ambition sportive. Il s’appuie sur des figures reconnues comme Pierre François and Marc Wilmots pour renforcer la confiance autour du projet.
Distinction avec 777 Partners
La rupture avec 777 Partners a marqué un tournant. Sous ce fonds américain, la stratégie suivait un modèle multi-clubs et une gestion centralisée.
Le Standard manquait d’autonomie et les difficultés financières persistaient. Angelini préfère maintenant une approche locale et indépendante.
Il veut que des acteurs belges ou européens financent le club, des gens plus proches du terrain et du public.
Cette orientation vise à restaurer la stabilité et à éviter les pratiques spéculatives.
Contrairement à 777 Partners, il ne cherche pas une expansion internationale rapide. Il préfère consolider la structure interne d’abord, avant de penser à de nouveaux marchés.
Ce positionnement éloigne le Standard d’une logique purement financière et renforce son ancrage régional.
Les enjeux sportifs et l’avenir du Standard
Le Standard de Liège entre dans une phase décisive avec Giacomo Angelini à la barre. Maintenant que la stabilité financière semble retrouvée, il faut que ça se reflète aussi sur le terrain.
Le club doit faire des choix clairs pour renforcer sa compétitivité et revoir ses priorités sportives et communautaires.
Impact sur l’équipe première et l’académie
Angelini veut consolider l’équipe première et redonner un vrai poids à la formation locale.
Le club cherche à réduire les dépenses excessives and miser sur des profils jeunes issus de l’Académie Robert Louis-Dreyfus.
Cette stratégie vise un effectif plus cohérent et durable. Les Rouches comptent sur un encadrement technique plus rigoureux.
Ils veulent aussi améliorer la transition entre les jeunes et les pros.
Le recrutement cible désormais des joueurs capables de s’intégrer rapidement dans le projet collectif.
Angelini insiste sur la discipline financière and the stabilité sportive. Il préfère ça aux transferts tape-à-l’œil.
| Objectif | Action prévue |
|---|---|
| Valoriser la formation | Intégrer plus de joueurs issus de l’académie |
| Stabiliser l’effectif | Limiter les changements d’entraîneurs et de joueurs |
| Optimiser le budget | Réduire la masse salariale sans affaiblir le niveau sportif |
Implications pour les ambitions européennes
Le Standard ne vise pas une qualification européenne immédiate.
Angelini veut d’abord bâtir une base solide pour espérer y revenir à moyen terme.
Il pense qu’un retour durable en Europe passe par une gestion saine and a progression sportive mesurée.
Moderniser les infrastructures et mieux planifier les saisons font partie des priorités.
Le club veut éviter les erreurs d’avant, quand des investissements mal ciblés ont mis en danger les finances.
Les dirigeants liégeois estiment que la stabilité interne and the continuité du projet sportif sont indispensables pour retrouver l’Europe.
L’idée, c’est de viser régulièrement le top 6 du championnat avant de voir plus grand.
Réactions de la communauté liégeoise
Les supporters liégeois accueillent le projet d’Angelini avec prudence, mais il y a aussi de l’espoir dans l’air.
Beaucoup apprécient qu’un dirigeant local, attaché au club, prenne les commandes après des années d’incertitude sous des propriétaires étrangers.
Les groupes de supporters, très actifs dans la vie du club, réclament de la transparency and résultats concrets.
Ils tiennent à voir un Standard fidèle à son identité populaire et à ses valeurs régionales.
Les commerçants et anciens joueurs de la région saluent aussi la reprise.
Ils espèrent que cette nouvelle ère permettra au Standard de redevenir un acteur fort du football belge, soutenu par une base locale soudée.
Les relations avec les acteurs locaux et la ville de Liège
Giacomo Angelini veut renforcer les liens entre le Standard, les autorités locales et la communauté liégeoise.
Il mise sur la transparence, la coopération et la valorisation du club comme acteur économique et social majeur.
Collaboration avec les autorités liégeoises
Angelini entretient un dialogue régulier avec la Ville de Liège and the Province de Liège.
Ils discutent de la sécurité autour du stade, de la mobilité les jours de match, et du développement d’infrastructures sportives modernes.
Les autorités locales voient dans le Standard un partenaire clé pour dynamiser le quartier de Sclessin.
Le club participe à des projets urbains qui visent à améliorer l’accès au stade et à revitaliser les alentours.
Angelini veut que le club s’intègre davantage dans le tissu local.
Il soutient des collaborations avec les écoles, les associations sportives et les initiatives sociales.
Cette coopération vise à faire du Standard un modèle de gestion locale, bien ancré dans la réalité liégeoise.
Rôle du stade de Sclessin
Visit stade Maurice Dufrasne, à Sclessin, reste au cœur du projet d’Angelini.
Il considère ce site comme un symbole de l’identité liégeoise.
Le dirigeant veut préserver son caractère historique, mais il cherche aussi à améliorer le confort et la sécurité.
Des discussions sont en cours avec les autorités pour moderniser certaines installations.
Les travaux envisagés incluent une meilleure gestion énergétique et des aménagements pour accueillir des événements non sportifs.
Angelini voit en Sclessin un atout économique.
Le stade pourrait devenir un pôle d’activités pour la région, attirant des visiteurs toute l’année.
Cette vision s’inscrit dans une logique de développement local durable, où le sport soutient la vie économique et sociale du quartier.
Engagement envers les supporters
Visit supporters liégeois occupent une place centrale dans la stratégie d’Angelini.
Il affirme vouloir rétablir un lien de confiance après des années de tensions liées à la gestion du club.
Le Standard multiplie les rencontres avec les groupes de fans pour écouter leurs attentes.
Le club met en place des actions communautaires, comme des programmes pour les jeunes et des événements ouverts à tous.
Angelini insiste sur la transparence financière et la communication directe.
Il sait que la stabilité du club dépend de la fidélité de ses supporters.
En renforçant ce dialogue, il espère consolider l’identité du Standard comme fierté populaire liégeoise.
Perspectives et défis pour l’avenir du Standard sous Angelini
Giacomo Angelini veut stabiliser le Standard de Liège après des années de déséquilibre financier et de changements de direction.
Son plan repose sur une gestion rigoureuse, la recherche d’investisseurs fiables et une stratégie sportive durable qui limite la dépendance aux capitaux extérieurs.
Risques et incertitudes
Le principal risque concerne le financement du rachat du club.
Angelini a acquis les actions via un paiement échelonné, ce qui crée une obligation financière jusqu’en 2026.
Si les remboursements ne suivent pas, l’ancien actionnaire pourrait reprendre ses parts.
Cette situation rend la recherche d’investisseurs cruciale.
Le club reste exposé à la volatilité du marché du football belge.
Les revenus dépendent beaucoup des droits TV, des transferts et des résultats sportifs.
Une saison ratée pourrait retarder les objectifs financiers.
Réduire le personnel et les coûts, même si c’est nécessaire, comporte un risque organisationnel.
Une structure trop légère pourrait limiter la capacité du Standard à se développer.
Angelini doit donc trouver un équilibre entre rigueur budgétaire et efficacité opérationnelle.
Opportunités de développement
Angelini voit dans cette période une chance de refonder le modèle économique du Standard.
Il a déjà réduit la dette de 70 à 28 millions d’euros et vise une perte limitée à 7–8 millions d’ici 2026.
Il cherche à rendre le club plus autonome.
Cette trajectoire financière crédibilise le projet auprès des investisseurs.
Le développement de l’académie et la valorisation des jeunes talents représentent une voie durable.
Le club peut aussi renforcer ses revenus avec de nouveaux sponsors locaux et une meilleure exploitation du stade de Sclessin.
Une gestion plus prudente du mercato, combinée à une stratégie de formation, pourrait permettre au Standard de générer des marges régulières sans dépendre d’un actionnaire fortuné.
Angelini mise sur la stabilité avant tout.
Positionnement du club sur la scène belge
Sous Angelini, le Standard veut retrouver une place solide dans le top 6 de la Pro League.
Il reste prudent sur le plan financier.
Le plan budgétaire vise une qualification en playoffs 2, mais l’ambition sportive reste de revenir durablement au premier plan.
Le Standard doit aussi regagner la confiance de son public et de ses partenaires.
Une communication claire et des résultats cohérents pourraient renforcer sa crédibilité face à des concurrents comme Anderlecht, Bruges ou Genk.
Angelini veut repositionner le club comme une grande PME du football belge, avec des bases saines et des objectifs réalistes.
Ce positionnement vise à faire du Standard un acteur stable, capable d’attirer des investisseurs sérieux sans perdre son indépendance.
Frequently asked questions FAQ
Giacomo Angelini, dirigeant liégeois et nouveau propriétaire du Standard de Liège, apporte une solide expérience financière. Il reste aussi très attaché à la région, ce qui ne passe pas inaperçu.
Son projet vise à stabiliser les finances du club. Il veut aussi améliorer la gestion interne et relancer la compétitivité sportive du Standard.
Quelles sont les motivations de Giacomo Angelini pour investir dans le Standard de Liège ?
Angelini veut préserver l’identité locale du club, c’est évident. Il se donne pour mission d’assurer la pérennité du Standard.
Supporter depuis des années, il considère cet investissement comme une chance de redonner au club une base saine et indépendante. Il croit qu’une gestion rigoureuse peut vraiment coexister avec la passion du football, même si ce n’est pas toujours facile.
Quel est le parcours professionnel de Giacomo Angelini avant son implication dans le football ?
Avant de rejoindre le Standard, Angelini a passé plus de dix ans comme auditeur financier chez KPMG. Ensuite, il a contribué au développement de Kinolt, une entreprise liégeoise spécialisée dans les systèmes d’alimentation de secours.
Rolls-Royce Power Systems a fini par racheter Kinolt. Angelini s’est forgé une expérience dans la gestion, la finance et la restructuration d’entreprises.
Comment Giacomo Angelini compte-t-il redresser la situation financière du Standard de Liège ?
Il a déjà lancé une recapitalisation de près de 29 millions d’euros. Angelini prévoit aussi de continuer à réduire la dette du club.
Il veut gérer les dépenses de façon plus stricte. Il cherche à optimiser les revenus commerciaux et à mettre en place une structure financière solide.
Il mise beaucoup sur la transparence et la discipline budgétaire. Pas vraiment de place pour l’improvisation ici.
Quelles sont les réactions des supporters du Standard face à l’arrivée de Giacomo Angelini ?
Certains supporters apprécient son profil local et son engagement personnel. D’autres, un peu plus prudents, attendent de voir des résultats concrets sur le terrain.
La plupart espèrent que sa direction apportera une gestion claire. Beaucoup souhaitent aussi une meilleure communication avec les fans.
Quel est le plan de Giacomo Angelini pour le développement futur du Standard de Liège ?
Angelini veut renforcer la formation des jeunes. Il compte aussi moderniser les infrastructures du club.
Il souhaite bâtir une équipe compétitive autour de talents belges et européens. Son approche privilégie la durabilité, pas les dépenses à court terme.
Son objectif, c’est de replacer le Standard parmi les clubs forts du championnat belge. C’est ambitieux, mais qui sait ?
Quels sont les précédents investissements sportifs de Giacomo Angelini ?
Avant le Standard, Angelini n’a jamais investi directement dans le sport.
Il a vraiment découvert le monde du football quand il est devenu directeur financier du club, à l’époque où 777 Partners gérait les choses.
Sa prise de contrôle du Standard, c’est donc sa première vraie aventure en tant que propriétaire d’un club professionnel.
Giacomo Angelini Origine ?
Giacomo Angelini est originaire d’Oupeye, en région liégeoise. Son ancrage local joue un rôle clé dans son investissement au Standard de Liège et dans l’image d’entrepreneur régional qu’il cultive.
Giacomo Angelini Donofrio ?
Angelini succède à Luciano D’Onofrio dans le rôle de dirigeant influent à Sclessin. Contrairement à D’Onofrio, il mise sur un modèle économique structuré et une gestion financière sans excès.
Giacomo Angelini LinkedIn ?
Son profil LinkedIn met en avant son parcours : HEC Liège, 12 ans chez KPMG, direction financière de Kinolt, puis CEO du Standard. Un parcours 100 % finance, aligné avec sa capacité à bâtir du capital.
Giacomo Angelini Holding ?
Sa société SDL Holding détient plus de 70 % du Standard de Liège. Cette structure est aujourd’hui l’un des piliers de sa fortune, avec une valeur potentielle dépassant 10 million euros si le club se stabilise durablement.
Giacomo Angelini Âge ?
Né en 1982, Giacomo Angelini a 43 years old en 2025, un âge où il combine expérience, ambition et capacité à faire croître sa richesse stratégique.
Giacomo Angelini Qui Est-Il ?
C’est un financier liégeois devenu propriétaire du Standard de Liège. Il incarne un profil rare : entrepreneur local, gestionnaire strict et investisseur capable de transformer un club en actif patrimonial.
Giacomo Angelini Biographie ?
Auditeur chez KPMG, dirigeant chez Kinolt, artisan de la vente à Rolls-Royce, CFO du Standard, puis CEO et propriétaire via SDL Holding : le parcours d’Angelini est marqué par la finance, la restructuration et la création de valeur patrimoniale.
