Les 10 Joueurs de Basket les Plus Riches de France : Classement 2025 des Fortunes
Joueurs de Basket les Plus Riches de France
Le basket français a produit des athlètes d’exception qui, en plus de briller sur les parquets, ont amassé de véritables petites fortunes. Dans ce classement, nous vous présentons les 10 basketteurs tricolores les plus riches en 2025 – en activité ou retraités. (Spoiler : le numéro 1 dispose d’une fortune colossale qui surpasse largement toutes les autres !)
Même si ces patrimoines restent modestes face aux géants mondiaux de la NBA (par exemple LeBron James est devenu milliardaire, franchissant le milliard de dollars de fortune), nos champions français n’ont pas à rougir. Entre salaires NBA mirobolants, contrats publicitaires, et investissements judicieux, ils ont transformé leurs exploits sportifs en succès financiers. Découvrons ensemble ce palmarès des basketteurs millionnaires made in France.
Top 10 Joueurs de Basket Français Les Plus Riches en 2025
10. Alexis Ajinça – 12 millions d’euros
Ancien pivot de NBA et de l’équipe de France, Alexis Ajinça ouvre ce top 10 avec une fortune estimée à 12 millions d’euros. Drafté en 2008 en NBA, ce géant de 2,18 m a surtout fait carrière aux New Orleans Pelicans, où il a signé en 2015 un contrat de 4 ans pour 20,2 millions de dollars. Au total, Ajinça a cumulé plus de 25 millions de dollars de salaires en NBA, ce qui lui a permis de bien garnir son compte en banque. S’il n’a jamais été une superstar sur le terrain, il a su tirer profit de ses années aux États-Unis. Après sa carrière, il a également évolué en France (ASVEL) et effectué quelques investissements, lui assurant un capital confortable.

9. Ronny Turiaf – 15 millions d’euros
Connu pour son énergie et son grand sourire, Ronny Turiaf a accumulé environ 15 millions d’euros de patrimoine. Champion NBA en 2012 avec les Miami Heat de LeBron James, ce pivot originaire de Martinique a joué 10 saisons en NBA. Turiaf a gagné plus de 22 millions de dollars en salaire sur sa carrière, notamment grâce à un contrat de 17 M$ sur 4 ans signé en 2008. Surnommé “Big Ron”, il a également été l’un des chouchous du public français. En dehors des terrains, Turiaf s’est impliqué dans des œuvres caritatives via sa fondation Heart to Heart, et il profite aujourd’hui d’une retraite paisible qu’il a pu s’offrir grâce à ses revenus accumulés.

Sa fortune reste l’une des plus importantes parmi les anciens Bleus, fruit de son travail acharné et de son attitude toujours positive. (Fun fact 🙂 Turiaf a surmonté une opération à cœur ouvert au début de sa carrière, une épreuve qui ne l’a pas empêché de réaliser son rêve NBA et de s’assurer un bel avenir financier.
8. Mickaël Piétrus – 15 millions d’euros
Autre figure emblématique des Bleus des années 2000, Mickaël “Air France” Piétrus affiche une fortune estimée à 15 millions d’euros. L’ailier guadeloupéen a connu 10 saisons en NBA, évoluant notamment aux Golden State Warriors, Orlando Magic (avec qui il a disputé la finale NBA 2009) et Boston Celtics. Piétrus a perçu environ 35 millions de dollars de salaires en NBA, son plus gros contrat étant un deal de 5 ans signé en 2008 avec Orlando pour ~25 M$.

Ses performances en défense et à trois points lui ont valu le surnom Air France outre-Atlantique, et des revenus confortables. Bien qu’il n’ait pas connu de contrats publicitaires majeurs, il a pu investir une partie de ses gains et préparer sa reconversion. Aujourd’hui retiré du parquet, Piétrus profite de ses investissements et reste proche du basket en intervenant comme consultant, continuant à faire fructifier ses millions gagnés à la force du poignet.
7. Ian Mahinmi – 28 millions d’euros
Vainqueur du titre NBA en 2011 avec les Dallas Mavericks, Ian Mahinmi a su transformer sa carrière de pivot en véritable success story financière. Sa fortune est estimée à 28 millions d’euros. Mahinmi a bénéficié du boom des salaires en NBA : en 2016, il signe un contrat de 4 ans pour 64 millions de dollars avec les Washington Wizards, faisant de lui l’un des sportifs français les mieux payés cette année-là. Sur l’ensemble de sa carrière NBA, il a gagné plus de 84 millions de dollars au total. De quoi assurer ses arrières !

Malgré un rôle souvent en sortie de banc, Mahinmi a capitalisé sur sa taille (2,11 m) et son profil défensif prisé. En dehors des terrains, il a investi dans plusieurs entreprises et s’intéresse au monde des affaires. À la retraite depuis 2020, il est resté proche du milieu sportif (il a cofondé une entreprise dans le sport et la technologie) et profite de la stabilité financière acquise durant ses années NBA.
6. Boris Diaw – 30 millions d’euros
Avec une fortune estimée à 30 millions d’euros, Boris “Babac” Diaw occupe la 6ᵉ place. Champion NBA 2014 avec les San Antonio Spurs, cet ailier fort polyvalent a cumulé près de 80 millions de dollars de salaires en 14 saisons professionnelles. Ancien capitaine de l’équipe de France, il a notamment signé en 2008 un contrat de 5 ans ~45 M$ avec Charlotte, puis une extension de 3 ans ~22 M$ avec les Spurs en 2014. Sa longévité en NBA et ses performances clutch lui ont permis d’empocher de jolis chèques (plusieurs saisons à plus de 7 M$ annuels). En parallèle, Diaw a décroché des sponsors grâce à son aura sympathique.

Grand globe-trotter dans l’âme, il a lancé sa propre marque de café et investi dans des projets personnels. Après avoir rangé les baskets en 2018, il est devenu manager de l’équipe de France masculine, transmettant son expérience. Ses investissements et son image populaire lui assurent une prospérité durable – d’autant qu’il a su rester prudent financièrement, jusqu’à négocier une prime de 500 000$ dans son contrat s’il maintenait son poids de forme ! Preuve que Babac gérait aussi bien son portefeuille que ses passes décisives.
5. Evan Fournier – 40 millions d’euros
À 32 ans, Evan Fournier est le plus jeune de ce classement et compte déjà près de 40 millions d’euros de fortune. L’arrière francilien a profité de deux contrats successifs très lucratifs en NBA : en 2016 il signe 85 M$ sur 5 ans avec le Orlando Magic, puis en 2021 un contrat de 4 ans pour 73 M$ avec les New York Knicks. Au total, Fournier aura amassé plus de 150 millions de dollars de salaires sur sa carrière. Surnommé “Don’t Google” par les fans (en référence à son nom de famille atypique), il a été l’un des meilleurs marqueurs français en NBA, ce qui lui a valu de juteux revenus.

Côté sponsoring, Fournier a collaboré avec des marques d’équipement sportifs et a même lancé sa propre ligne de vêtements. En 2023, mis à l’écart de la rotation des Knicks, il a fait parler de lui en rejoignant provisoirement l’Euroligue (Olympiakos) – un luxe financier qu’il peut se permettre grâce aux millions déjà gagnés. À terme, il vise un retour en NBA. En attendant, ses investissements immobiliers et son patrimoine déjà conséquent de ~40 M€ le placent parmi les basketteurs français les plus aisés de l’histoire.
4. Joakim Noah – 60 millions d’euros
Fils du célèbre chanteur et champion de tennis Yannick Noah (n°1 de notre classement tennis), Joakim Noah a su tracer sa propre voie et bâtir une fortune d’environ 60 millions d’euros. L’ancien pivot star des Chicago Bulls a cumulé des gains énormes durant ses 13 saisons en NBA – on estime qu’il a touché au total près de 145 millions de dollars en salaires. En 2014, il est élu Meilleur Défenseur de l’Année en NBA, ce qui assoit sa réputation et lui permet de signer en 2016 un contrat de 72 M$ sur 4 ans avec les New York Knicks.

Malgré une fin de carrière compliquée par les blessures, Joakim Noah a donc pu amasser un joli pactole. Sa fortune est évaluée à 50 millions de dollars par certains médias, mais pourrait être supérieure grâce à ses investissements. Au-delà du terrain, Noah s’est démarqué par son engagement associatif (fondation Noah’s Arc à Chicago) et quelques contrats publicitaires (notamment avec Le Coq Sportif). Aujourd’hui retiré, il se partage entre les États-Unis et la France, jouant le rôle d’ambassadeur du basket. Il reste, à ce jour, l’un des basketteurs français les plus riches et une personnalité appréciée, ayant su conjuguer héritage familial et réussite personnelle.
3. Nicolas Batum – 100 millions d’euros
Sur la troisième marche du podium, Nicolas Batum affiche une fortune estimée à 100 millions d’euros. L’ailier originaire de Normandie, toujours en activité en NBA, a pu capitaliser sur un contrat historique signé en 2016 avec les Charlotte Hornets : 5 ans pour 120 millions de dollars. À l’époque, ce deal fait de lui le sportif français le mieux payé tous sports confondus, un statut qu’il conservera jusqu’à l’avènement de Rudy Gobert.
Au total, Batum a gagné plus de 170 millions de dollars en salaires depuis ses débuts en NBA en 2008. Son patrimoine reflète ces revenus : son patrimoine est estimé à 110 millions de dollars en 2024 d’après certaines sources, soit environ 100 M€ actuellement. Capitaine emblématique des Bleus, Nicolas Batum a également des revenus annexes : sponsoring avec la marque Jordan, partenariats locaux et investissements aux États-Unis (immobilier en Caroline du Nord notamment).

À 36 ans, il évolue désormais aux Philadelphia 76ers et entame la fin de sa carrière sportive, mais ses comptes sont déjà bien garnis. Sérieux et investi, Batman (comme le surnomment affectueusement certains fans) a su gérer sa fortune avec autant de rigueur que son jeu sur le terrain.
2. Rudy Gobert – 150 millions d’euros
En deuxième position, Rudy Gobert – véritable colosse de 2,16 m – possède une fortune estimée à 150 millions d’euros. Le pivot originaire de Saint-Quentin est devenu en quelques années un poids lourd financier du sport français. Fin 2020, il signe une extension de contrat record de 205 millions de dollars sur 5 ans avec le Utah Jazz, faisant de lui le sportif français le mieux payé de l’histoire.
Grâce à cet accord (le troisième plus gros contrat jamais signé pour un pivot NBA), Gobert devrait avoir empoché plus de 300 M$ de gains en carrière d’ici 2026! Triple Meilleur Défenseur de la NBA, All-Star, il a justifié chaque centime de ses contrats par ses performances d’élite. Aujourd’hui joueur des Minnesota Timberwolves, il touche un salaire annuel d’environ 41 M$ en 2024, un niveau stratosphérique.

Outre ses salaires, Rudy Gobert engrange des revenus de sponsoring (partenariats avec Nike, avec la boisson Yop, montres Phenomen, etc.) et a investi dans l’immobilier aux États-Unis. À 32 ans, il est au sommet de sa carrière et de sa richesse. Tout porte à croire qu’il pourrait bientôt menacer la première place de ce classement tant sa fortune croît à grande vitesse au fil de ses contrats XXL.
1. Tony Parker – 200 millions d’euros
Au sommet du classement trône Tony Parker avec une fortune estimée aux alentours de 200 millions d’euros. Véritable légende vivante du basket français, TP a tout gagné sur les parquets – 4 titres NBA avec les San Antonio Spurs, 1 titre de MVP des Finales – et transformé ces succès en or sonnant et trébuchant. Durant sa carrière NBA, Parker a gagné près de 160 millions d’euros en salaires (environ 170 M$), auxquels se sont ajoutés des contrats publicitaires lucratifs (Nike, Peak, Tissot…) et des revenus d’auteur (il a publié des livres) ou de consultant TV.
Une fois ses sneakers raccrochées en 2019, loin de ralentir, Tony Parker a multiplié les affaires : il est devenu propriétaire et président du club ASVEL Lyon-Villeurbanne, a investi dans une écurie de sport automobile, des start-ups, l’immobilier de luxe… Un véritable businessman ! Résultat : son patrimoine a continué de croître pour atteindre la barre des 200 M€, faisant de lui l’un des sportifs français les plus fortunés tous sports confondus. Parker ne manque pas d’ambition pour autant – il a même exprimé son souhait de devenir un jour propriétaire d’une franchise NBA.

En attendant, TP savoure une retraite bien remplie, entre projets d’entreprise, apparitions médiatiques et vie de famille, avec un portefeuille aussi garni que son armoire à trophées.
Conclusion
Ce classement des basketteurs français les plus riches en 2025 démontre que l’excellence sur le terrain se conjugue avec une réussite financière hors norme. Qu’il s’agisse de l’ascension fulgurante d’Evan Fournier ou du parcours légendaire de Tony Parker, ces joueurs ont su diversifier leurs revenus et investir intelligemment pour bâtir leur empire. Leur réussite rappelle que, même loin des projecteurs de la NBA, le basket français a ses propres héros, capables de transformer chaque dribble en opportunité économique. Un véritable hommage à ces champions qui, par leur talent et leur vision, inspirent la relève et redéfinissent les standards du succès dans le monde du sport.
FAQ – Richesse des Joueurs de Basket Français
- Qui est le basketteur français le plus riche en 2025 ?
C’est Tony Parker, avec une fortune estimée à environ 200 millions d’euros. Grâce à sa carrière exceptionnelle en NBA (4 bagues de champion) et à ses investissements fructueux après sa retraite, il domine largement ce classement financier. - Comment les basketteurs français gagnent-ils de l’argent en dehors du terrain ?
Au-delà des salaires en club (NBA ou Europe), ils perçoivent des revenus de sponsoring (marques d’équipements sportifs, publicités), touchent des primes en sélection nationale, et investissent dans divers projets. Par exemple, beaucoup se lancent dans l’immobilier, créent des entreprises ou deviennent actionnaires de clubs sportifs. Certains, comme Tony Parker ou Nicolas Batum, participent à des émissions médiatiques, écrivent des livres ou lancent leur propre marque, diversifiant ainsi leurs sources de revenu. - Pourquoi Tony Parker a-t-il une fortune bien supérieure aux autres ?
Plusieurs facteurs expliquent l’avance de Parker. D’abord, sa longévité et son palmarès en NBA lui ont permis de cumuler des salaires énormes sur presque 20 ans. Ensuite, il a très tôt investi dans des affaires lucratives (club de basket, entreprise d’esport, etc.), ce qui a fait fructifier ses gains. De plus, Tony Parker a bénéficié d’une forte visibilité médiatique (mariage médiatisé, image de marque) qui lui a apporté des contrats publicitaires supplémentaires. En somme, il a cumulé les revenus sportifs et extra-sportifs mieux que quiconque, creusant un écart énorme avec les autres joueurs français. - Les joueurs français actuels peuvent-ils rattraper la fortune de Parker à l’avenir ?
Rudy Gobert en est le meilleur candidat. Avec son contrat de 205 M$, il a des revenus annuels supérieurs à ce qu’a jamais touché Parker, et d’ici 2026 il aura gagné plus de 300 M$ en carrière. S’il investit aussi habilement que Parker, il pourrait un jour le dépasser en patrimoine. Mis à part Gobert, les autres auront du mal à atteindre 200 M€. Un nouveau prodige comme Victor Wembanyama pourrait peut-être y parvenir s’il devient une superstar mondiale, en combinant gros contrats NBA, sponsors planétaires et longévité. En résumé, c’est possible mais il faudra des carrières exceptionnelles sur et en dehors du terrain. - Un basketteur français peut-il devenir riche sans passer par la NBA ?
C’est très difficile. Les salaires en NBA sont sans commune mesure avec ceux offerts en Euroligue ou en championnat de France (Betclic Élite). Un excellent joueur en Europe peut gagner quelques centaines de milliers d’euros par an, parfois 1 ou 2 M€ pour les stars en Euroligue, ce qui est bien loin des standards NBA. Aucun joueur restant exclusivement en Europe n’atteint les fortunes de cette liste dominée par les salaires NBA. Cependant, un basketteur français ayant une longue carrière en Europe, des sponsors locaux et une bonne reconversion pourrait tout de même accumuler quelques millions d’euros – mais on restera très en deçà des dizaines de millions des NBAers. - Les basketteuses françaises sont-elles aussi bien payées que les hommes ?
Non, l’écart est important. En WNBA (ligue féminine nord-américaine), les salaires des Françaises tournent autour de 100 000$ par saison au maximum, et en Europe ils sont également sans commune mesure avec la NBA masculine. Les meilleures joueuses françaises, comme Sandrine Gruda ou Céline Dumerc, ont pu bien gagner leur vie (quelques centaines de milliers d’euros par an au sommet de leur carrière), mais aucune n’atteint des fortunes comparables aux hommes de ce top 10. Le basket féminin, moins médiatisé, offre moins de revenus sponsoring. Néanmoins, certaines basketteuses se reconvertissent avec succès (consultantes TV, entraîneures) et parviennent à assurer leur avenir financier, même si elles restent loin des millionnaires masculins. - Que font ces anciens joueurs de leur argent – le réinvestissent-ils dans le basket français ?
Beaucoup, oui. Tony Parker a racheté et présidé l’ASVEL Lyon-Villeurbanne, contribuant à développer le basket en France. Nicolas Batum a lancé la Batum Basketball Academy pour former les jeunes et a été General Manager de l’équipe de France A’ (jeunes talents). Boris Diaw a été manager de l’équipe de France et reste très investi dans la fédération, en plus d’initiatives comme son club de voile et son entreprise de café. D’autres, comme Joakim Noah, ont créé des fondations caritatives ou organisent des camps d’entraînement pour la jeunesse. En somme, bon nombre de nos millionnaires du basket redonnent à la communauté : ils investissent soit financièrement, soit en temps et en expertise, pour faire grandir le sport en France. Leur richesse sert souvent à préparer la relève et à transmettre leur passion du basket aux générations futures.