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Les 10 Journalistes les plus Riches du Canada : Classement 2025 des Fortunes

Journalistes les plus Riches du Canada

Découvrez quels journalistes dominent le palmarès des fortunes médiatiques canadienes. De la salle de rédaction aux comptes bancaires bien garnis, voici un tour d’horizon étonnant et divertissant des dix journalistes canadiens les plus riches.

Quand Journalisme Rime avec Fortune – TOP 10 Journalistes les plus Riches du Canada

Le journalisme n’est pas seulement une vocation d’information – pour certains, c’est aussi un tremplin vers la richesse. Si l’image du reporter fauché courant après son prochain scoop reste tenace, ces dix personnalités prouvent qu’informer le public peut rapporter gros. Des présentateurs vedettes aux magnats des médias, découvrez comment ces journalistes canadiens ont accumulé des fortunes dignes de stars de Hollywood. Préparez-vous à être surpris par les chiffres et les parcours hors du commun de ces chasseurs d’actualités devenus chasseurs de millions !

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Classement des 10 Journalistes Canadiens les Plus Riches en 2025

10. Lisa LaFlamme – 7,44 Millions de Dollar Canadien

Ancienne chef d’antenne de CTV National News, Lisa LaFlamme a passé plus de trente ans à rapporter les nouvelles aux Canadiens. Son professionnalisme et sa popularité lui ont valu un salaire confortable et de nombreux prix au fil de sa carrière. Avec une fortune estimée à 7,44 Millions de Dollar Canadien, Lisa LaFlamme a pu accumuler ce pactole grâce à son poste de présentatrice vedette (qui lui rapportait un salaire annuel à six chiffres), ainsi qu’à des collaborations spéciales et contrats de consultante après son départ de CTV.

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Lisa LaFlamme

Son statut d’Officier de l’Ordre du Canada illustre une carrière brillante – et bien récompensée – dans le paysage médiatique canadien. Malgré les bouleversements récents de sa carrière, elle demeure l’une des journalistes les plus riches et influentes du pays, prouvant que griser ses cheveux à l’antenne n’a en rien terni son succès financier.

9. Samantha Bee – 11,90 Millions de Dollar Canadien

Révélée comme correspondante humoristique dans The Daily Show, la Canadienne Samantha Bee a conquis le public américain avec son humour acerbe. Elle a ensuite animé sa propre émission satirique Full Frontal with Samantha Bee pendant sept saisons, devenant l’une des rares femmes à la tête d’un late show aux États-Unis. Cette ascension s’est également traduite en chiffres sur son compte en banque. Aujourd’hui, sa fortune atteint environ 11,90 Millions de Dollar Canadien, fruit de ses contrats télévisés lucratifs, de son rôle de productrice (via sa société de production) et de ses multiples apparitions à la télévision.

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Samantha Bee

Samantha Bee a su transformer son talent pour la satire en véritable mine d’or, remportant au passage des nominations aux Emmy Awards. Preuve vivante qu’un sens de l’humour piquant peut rapporter gros, elle figure fièrement parmi les journalistes/animatrices canadiennes les plus aisées de la scène médiatique internationale.

8. Ben Mulroney – 13,39 Millions de Dollar Canadien

Fils de l’ancien premier ministre Brian Mulroney, Ben Mulroney a tracé sa propre voie dans le monde du journalisme de divertissement. Animateur emblématique de etalk sur CTV pendant 18 ans et hôte de Canadian Idol, il est devenu un visage familier du showbiz canadien. Ses interviews de célébrités et ses apparitions sur les tapis rouges lui ont permis d’amasser une fortune estimée à 13,39 Millions de Dollar Canadien.

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Ben Mulroney

Contrairement à ce que son prestigieux patronyme pourrait laisser penser, cette fortune provient surtout de son travail à l’écran : un salaire conséquent de CTV, additionné à des projets spéciaux (comme la coanimation d’émissions de gala et de concours internationaux) et quelques fonctions de consultant dans le milieu médiatique. Bien sûr, être issu d’une famille en vue a pu lui ouvrir des portes, mais Ben Mulroney a prouvé qu’il savait les franchir avec talent. Aujourd’hui, même après avoir quitté son poste à etalk, il reste l’un des journalistes canadiens les plus riches, démontrant que potins et paillettes peuvent mener à un compte en banque scintillant.

7. Peter Mansbridge – 14,88 Millions de Dollar Canadien

Véritable légende vivante du journalisme canadien, Peter Mansbridge a été pendant presque 30 ans le présentateur du National sur CBC. Sa voix grave et son calme rassurant ont accompagné des générations de téléspectateurs à travers les grands événements mondiaux. Des décennies au sommet de l’information télévisée lui ont permis de cumuler une fortune estimée à 14,88 Millions de Dollar Canadien. Mansbridge bénéficiait d’un salaire annuel confortable (on parle de plus de 800 000 $CAD en fin de carrière) et d’avantages liés à son ancienneté à la CBC.

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Peter Mansbridge

À cela se sont ajoutés ses projets post-retraite, tels que la publication de livres, un podcast à succès et des engagements comme conférencier. Officier de l’Ordre du Canada, il a su monnayer sa crédibilité et son image d’ancre inébranlable en une solide assise financière. Pas mal pour quelqu’un dont la carrière a commencé par une annonce improvisée dans un aéroport ! Aujourd’hui encore, même s’il profite d’une retraite bien méritée, Peter Mansbridge reste l’un des poids lourds financiers du journalisme canadien.

6. Morley Safer – 34,21 Millions de Dollar Canadien

Le regretté Morley Safer fait partie de ce classement grâce à une carrière exceptionnelle qui l’a vu passer d’envoyé spécial intrépide à coqueluche de la télévision américaine. Né à Toronto, Safer a passé 46 ans comme correspondant vedette de l’émission 60 Minutes sur CBS. Son style inimitable et ses reportages marquants – de la guerre du Vietnam aux enquêtes d’investigation – lui ont conféré une renommée internationale… et un joli pactole.

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Morley Safer

Au moment de son décès en 2016, la fortune de Morley Safer était estimée à 34,21 Millions de Dollar Canadien (environ 25 millions $US). Cette richesse provenait de son important salaire chez CBS, cumulé sur des décennies au sommet des audiences, mais aussi de divers projets de livres et d’investissements personnels avisés. Connu pour son goût du bon vin et de l’art, Morley Safer a su profiter de sa richesse tout en restant actif jusqu’au bout dans le journalisme. Son héritage n’est pas seulement médiatique, il est aussi financier : il demeure l’un des journalistes canadiens (d’adoption américaine) les plus fortunés de l’histoire.

5. Malcolm Gladwell – 40,17 Millions de Dollar Canadien

Si vous avez lu The Tipping Point (Le Point de Bascule) ou Outliers (Les Prodiges), vous avez contribué au succès de Malcolm Gladwell – et, indirectement, à sa fortune. Né en Angleterre mais élevé au Canada, Gladwell a débuté comme journaliste au Washington Post avant de devenir chroniqueur vedette du New Yorker. C’est cependant sa plume unique et accessible d’auteur qui l’a rendu riche. Ses livres de sociologie grand public sont tous des best-sellers internationaux, faisant de lui l’un des auteurs-journalistes les mieux payés.

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Malcolm Gladwell

On estime sa fortune à 40,17 Millions de Dollar Canadien, accumulée grâce à des millions d’exemplaires vendus (et les droits d’auteur afférents), des tournées de conférences extrêmement lucratives et même un podcast populaire (Revisionist History) qu’il a cofondé. Malcolm Gladwell a transformé des idées complexes en or, prouvant qu’un journaliste curieux peut aussi être un businessman de l’édition avisé. Son succès atypique montre que la richesse journalistique ne passe pas forcément par la télévision – elle peut aussi se trouver au détour d’une page imprimée.

4. Gino Chouinard – 44,63 Millions de Dollar Canadien

Figure phare de la télévision québécoise, Gino Chouinard est la preuve qu’un sourire matinal peut valoir des millions. Animateur de l’émission Salut Bonjour depuis 2007, il a su capitaliser sur sa popularité auprès du public francophone. Comment l’animateur le plus matinal du Québec a-t-il pu amasser une telle somme ? D’abord grâce à sa longévité à l’écran : ses contrats successifs avec le réseau TVA lui ont assuré des revenus conséquents sur plus de deux décennies. Ensuite, Gino Chouinard a le sens des affaires : il a investi dans plusieurs entreprises et projets entrepreneuriaux, ses parts de sociétés étant évaluées à près de 9,3 millions $CAD.

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Gino Chouinard

Enfin, sa notoriété lui attire des contrats publicitaires juteux (environ 4 millions $CAD de revenus commerciaux), faisant de lui l’égérie de diverses marques québécoises. Avec son parcours d’autodidacte parti d’une petite station de radio régionale, Gino a bâti un véritable empire mêlant médias et affaires. Chaque matin, quand il lève son café en direct, c’est un peu sa fortune qu’il trinque avec les téléspectateurs!

3. Peter Jennings – 66,94 Millions de Dollar Canadien

Le Canada a offert au monde quelques stars de l’information, et Peter Jennings en est sans doute le meilleur exemple. Né à Toronto, Jennings est devenu à seulement 27 ans le présentateur de ABC World News Tonight, l’un des journaux télévisés les plus regardés aux États-Unis. Durant plus de quatre décennies, il a couvert les plus grands événements planétaires – de la chute du Mur de Berlin aux attentats du 11 septembre – avec un professionnalisme et un charisme inégalés. Cette carrière au sommet de l’audimat américain lui a permis de percevoir des salaires annuels se chiffrant en millions et d’accumuler une fortune personnelle estimée à 66,94 Millions de Dollar Canadien.

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Peter Jennings

Au moment de son décès en 2005, son patrimoine était évaluée autour de 50 millions $US, reflet de ses années de contrat en or chez ABC et de quelques investissements bien placés. Fait intéressant, Jennings avait quitté l’école très jeune, prouvant qu’une passion et du talent peuvent mener plus loin que n’importe quel diplôme – jusqu’au statut de multimillionnaire. Son héritage perdure non seulement dans les annales du journalisme télévisé, mais aussi à travers le confortable patrimoine qu’il a laissé, faisant de lui l’un des journalistes canadiens les plus riches de tous les temps.

2. Shane Smith – 74,38 Millions de Dollar Canadien

Ancien punk de la scène montréalaise devenu magnat des médias, Shane Smith a cofondé Vice Media, l’empire médiatique rebelle qui a conquis les jeunes du monde entier dans les années 2010. D’un petit fanzine gratuit de Montréal, Vice est devenu un groupe valorisé à plus de 5 milliards de dollars US à son apogée, propulsant Shane Smith au rang de millionnaire en série (et même brièvement au statut de milliardaire sur le papier). Bien que Vice Media ait traversé des turbulences récemment, Shane Smith en a retiré suffisamment pour figurer en deuxième position de ce classement. Sa fortune actuelle est estimée à 74,38 Millions de Dollar Canadien.

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Shane Smith

Cette somme provient de la vente de parts de Vice à des investisseurs (tels que Disney et Fox) qui lui ont permis d’encaisser des dizaines de millions, ainsi que des salaires et bonus qu’il s’est octroyés en tant que PDG d’une entreprise en forte croissance. Connu pour son style de vie flamboyant, il a acheté des propriétés luxueuses et n’hésitait pas à offrir des fêtes grandioses – des dépenses qu’il pouvait se permettre grâce aux succès de Vice.

Même si Vice Media a vu sa valeur chuter depuis, Shane Smith reste incroyablement riche. Il illustre à merveille le parcours du journaliste-entrepreneur qui a su flairer l’air du temps numérique, bâtissant un empire de la contre-culture qui lui a rapporté une fortune colossale.

1. Conrad Black – 148,76 Millions de Dollar Canadien

En tête du classement, un nom qui évoque pouvoir et controverse : Conrad Black. Né à Montréal, Conrad Black s’est fait connaître comme magnat de la presse écrite avant de devenir lui-même chroniqueur et auteur. À travers son ancienne holding Hollinger International, il a contrôlé à son zénith un véritable empire médiatique incluant le Daily Telegraph de Londres, le National Post au Canada et le Chicago Sun-Times aux États-Unis.

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Conrad Black

Cette position lui a valu d’amasser une fortune gigantesque. Lord Black – anobli à la Chambre des Lords britannique – affiche une fortune estimée aux alentours de 148,76 Millions de Dollar Canadien. Au sommet de sa gloire, sa richesse était encore plus impressionnante (on l’estimait alors à plusieurs centaines de millions), fruit des bénéfices de ses journaux et magazines répartis sur plusieurs continents.

Toutefois, des déboires judiciaires au milieu des années 2000 (Conrad Black a été reconnu coupable de fraude et incarcéré pendant quelques années) ont quelque peu entamé son magot et son influence. Qu’à cela ne tienne, il conserve un patrimoine considérable, alimenté par ses actifs restants, ses mémoires publiées et ses chroniques régulières dans la presse. Marié à la journaliste Barbara Amiel, lui-même continue d’écrire et d’intervenir dans le débat public. Conrad Black demeure ainsi, contre vents et marées, le journaliste canadien le plus riche connu à ce jour – incarnant à sa manière le côté obscur et fastueux du monde des médias.

Conclusion

Ce top 10 des journalistes canadiens les plus riches démontre qu’il est possible de transformer une carrière d’informateur en véritable success story financière. Qu’ils soient présentateurs vedettes, entrepreneurs des médias ou auteurs à succès, ces journalistes ont diversifié leurs sources de revenus et capitalisé sur leur image de marque. Du sérieux très respecté de Peter Mansbridge à l’audace entrepreneuriale de Shane Smith, en passant par l’humour ravageur de Samantha Bee et la longévité de Gino Chouinard, chacun a emprunté un chemin différent vers la prospérité. Leur point commun ? Une passion pour les médias et une capacité à saisir les opportunités au-delà de la salle de rédaction.

Si la plupart des journalistes ne roulent pas sur l’or, nos dix protagonistes prouvent qu’avec du talent, du flair et un brin de chance, le quatrième pouvoir peut rapporter bien plus que de simples applaudissements. De quoi inspirer – ou faire rêver – les futurs chasseurs de scoops en quête de succès tant médiatique que financier !

FAQ – Questions Fréquentes sur la Richesse des Journalistes

Q : Qui est le journaliste canadien le plus riche ?
R : D’après notre classement, le journaliste canadien le plus riche est Conrad Black, avec une fortune estimée à environ 100 millions d’euros. Ancien magnat de la presse devenu essayiste, il surpasse de loin les autres en raison de son empire médiatique passé. Derrière lui, on trouve Shane Smith (cofondateur de Vice Media) aux alentours de 50 millions d’euros. La plupart des autres journalistes, même très connus, sont bien en dessous de ces montants.

Q : Comment les journalistes gagnent-ils de si grandes fortunes ?
R : Plusieurs facteurs expliquent ces fortunes. D’abord, les salaires élevés : les présentateurs vedettes de la télévision (comme Peter Mansbridge ou Lisa LaFlamme) et les correspondants de renom (tel Morley Safer sur 60 Minutes) négocient des rémunérations annuelles très confortables.

Sur une longue carrière, cela représente des millions accumulés. Ensuite, beaucoup de journalistes monétisent leur notoriété en dehors de l’info pure : écriture de livres best-sellers (ex. Malcolm Gladwell), conférences payantes, chroniques rémunérées, voire participation à des publicités ou commandites. Certains deviennent aussi entrepreneurs dans les médias (Shane Smith a cofondé Vice, Gino Chouinard a investi dans des entreprises) et récoltent les fruits de ces affaires. Enfin, une gestion financière avisée – placements, immobilier – permet à ces personnalités de faire fructifier leurs revenus médiatiques. En somme, ils diversifient leurs sources de revenu bien au-delà du simple bulletin de nouvelles.

Q : Est-ce courant pour un journaliste de devenir millionnaire ?
R : Non, cela reste l’exception plus que la règle. La majorité des journalistes gagnent des revenus modestes ou moyens, par passion du métier plus que par appât du gain. Devenir millionnaire est généralement réservé aux grandes figures médiatiques : présentateurs nationaux, animateurs de prime time, ou journalistes ayant atteint une renommée internationale.

Souvent, ces journalistes millionnaires ont su élargir leur champ d’activité – par exemple en écrivant des livres, en animant des événements ou en lançant leur propre média. Au Canada, on compte finalement peu de journalistes millionnaires comparé à d’autres domaines (comme les PDG ou les stars du sport). Ce classement met en lumière les rares élus qui ont atteint ce niveau de richesse. Pour la plupart des reporters de terrain, le journalisme assure une vie confortable mais pas forcément de quoi figurer dans un palmarès de fortune.

Q : Les journalistes les mieux payés sont-ils uniquement des anglophones du Canada ?
R : Historiquement, les journalistes anglophones canadiens – en particulier ceux qui percent sur la scène américaine – ont eu tendance à gagner les plus gros revenus, car ils touchent un marché plus vaste. Des noms comme Peter Jennings, Morley Safer ou Malcolm Gladwell en sont l’illustration, ayant fait carrière aux États-Unis ou dans le monde anglophone.

Toutefois, le paysage francophone n’est pas en reste : Gino Chouinard, par exemple, montre qu’au Québec un animateur peut bâtir une belle fortune (30 M€ estimés). D’autres journalistes/animateurs québécois très connus (comme Guy A. Lepage ou Julie Snyder, bien que davantage animatrice-productrice) ont également accumulé plusieurs millions. Donc, même si notre top 10 penche vers des anglophones en raison de l’ampleur de leur marché, le Québec produit aussi des journalistes fortunés.

La différence tient surtout à la taille du public et au pouvoir d’achat publicitaire : le marché anglophone nord-américain, plus grand, permet souvent des salaires et des contrats plus élevés qu’en francophonie. Cependant, la passion et le talent n’ont pas de langue, et la richesse peut sourire aux journalistes des deux communautés linguistiques du pays.

Q : Quelles sont les principales sources de revenu pour ces journalistes riches ?
R : Leurs revenus proviennent généralement de plusieurs sources complémentaires :

  • Salaire principal : Le bulletin de nouvelles quotidien, l’émission animée ou la chronique régulière qui constitue le cœur de leur travail (et de leur paye). Plus l’audience est grande, plus le salaire est élevé.
  • Activités annexes dans les médias : Animation d’émissions spéciales, production déléguée, apparition comme commentateur dans d’autres programmes, etc. Ces à-côtés bonifient leurs revenus.
  • Publications et droits d’auteur : Beaucoup écrivent des livres (mémoires, essais, enquêtes) ou produisent des documentaires. Les ventes de livres et les droits tirés des adaptations peuvent être très lucratifs pour les plus populaires.
  • Conférences et événements : Être une personnalité connue permet de toucher des cachets importants en tant que conférencier invité, maître de cérémonie ou panéliste dans des forums prestigieux.
  • Investissements et entreprises : Certains utilisent leur notoriété pour lancer des entreprises (médias en ligne, boîtes de production) ou investir dans des startups, de l’immobilier, etc. Ces placements peuvent rapporter gros, comme ce fut le cas pour Shane Smith (Vice) ou pour d’autres à plus petite échelle.
  • Endorsements publicitaires : C’est plus rare dans le journalisme « pur », mais quelques figures médiatiques participent à des campagnes publicitaires ou deviennent porte-parole rémunérés pour des causes/organismes, améliorant ainsi leur revenus.

En combinant plusieurs de ces sources, les journalistes du top 10 ont pu atteindre des niveaux de revenus exceptionnels dans leur profession. Chaque parcours est unique, mais la diversification et l’exploitation de leur image publique sont des clés communes de leur enrichissement.

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