Laurent de la Clergerie président de LDLC : un leader visionnaire dans le commerce en ligne de matériel informatique
Président de LDLC
Laurent de la Clergerie est une figure marquante dans le monde des affaires français. En tant que président du directoire du groupe LDLC, il a su attirer l’attention des médias grâce à sa vision unique de l’entreprise.
Son passage dans l’émission « Patron Incognito » sur M6 et sa participation à « Capital » ont mis en lumière sa personnalité et ses idées novatrices.
Le parcours de Laurent de la Clergerie est jalonné de décisions audacieuses. Il a notamment mis en place la semaine de 4 jours au sein de son entreprise, une initiative qui a fait parler d’elle.
Le groupe LDLC, sous sa direction, s’est également distingué par la création de l’École LDLC, démontrant l’engagement de de la Clergerie envers la formation et l’innovation.

Le parcours scolaire de Laurent de la Clergerie
Laurent de la Clergerie a commencé ses études au Collège La Fosse Aux Dames à Les Clayes-sous-Bois. Dès ses premières années, il montre une passion pour la technologie.
En 1982, il crée le club d’informatique de son établissement.
Après le collège, il poursuit sa scolarité au Lycée Jean Perrin à Lyon. Il y décroche un baccalauréat C, avec une spécialisation en mathématiques.
Son diplôme en poche, Laurent de la Clergerie choisit de s’orienter vers une formation d’ingénieur. Il intègre CPE Lyon, une école renommée dans ce domaine.
Voici un aperçu de son parcours à CPE Lyon :
- Spécialisation : Électronique et informatique
- Focus particulier : Traitement de l’image
- Implication associative :
- Membre du Bureau Des Élèves (1991-1992)
- Organisateur du gala de l’école (1994)
Durant ses années à CPE Lyon, Laurent de la Clergerie ne se contente pas d’étudier. Il s’implique activement dans la vie étudiante, développant ainsi des compétences en gestion et en organisation d’événements.

À la fin de ses études, il obtient son diplôme d’ingénieur. Cette formation lui a donné une base solide en technologie, un atout précieux pour sa future carrière.
Il est intéressant de noter que plus tard, Laurent de la Clergerie exprimera un certain regret. Avec le recul, il aurait préféré suivre une formation en management. Cette réflexion montre sa capacité à analyser son parcours et à envisager d’autres options.
Les premiers pas entrepreneuriaux de Laurent de la Clergerie
Laurent de la Clergerie a toujours eu l’esprit d’entreprise. Après son service militaire, il décide de transformer sa passion pour l’informatique en carrière.
En 1996, il se lance dans l’aventure entrepreneuriale, attiré par Internet et l’économie numérique.
Sa première entreprise se concentre sur la vente de produits électroniques et informatiques. Les débuts sont modestes mais prometteurs : 10 ventes le premier mois, 30 le deuxième. Le succès ne tarde pas à suivre.
Un coup de chance booste son projet en 1997. Il remporte environ 15 000 € lors d’un jeu organisé par un magazine. Cet argent est immédiatement réinvesti dans son entreprise.
Dès 1998, Laurent de la Clergerie franchit une étape importante en ouvrant sa première boutique à Lyon. Cette expansion rapide témoigne de sa vision et de son ambition.
Son parcours illustre parfaitement la croissance du e-commerce en France. De la Clergerie a su saisir les opportunités offertes par la vente en ligne de matériel informatique, un secteur en pleine expansion à l’époque.
L’essor et la diversification de LDLC
LDLC s’est rapidement imposé comme une entreprise familiale dynamique. La société a connu une croissance remarquable grâce à une stratégie d’expansion bien pensée.

En 2000, LDLC fait son entrée en bourse. Cette opération permet au groupe de lever 3 millions d’euros, donnant un coup d’accélérateur à son développement.
LDLC a ensuite misé sur l’acquisition de sociétés concurrentes pour renforcer sa position sur le marché de l’informatique. Parmi les rachats notables :
- Hardware.fr en 2000
- Materiel.net en 2016
- BIMP en 2017
- Top Achat en 2020
Ces acquisitions ont permis à LDLC de devenir un acteur majeur du secteur informatique en France.
Le groupe a aussi élargi ses activités :
- L’Armoire de Bébé (puériculture) en 2015
- DLP Connect (installation de matériel) en 2004
- Anikop (logiciels) en 2007
- Maginéa.com (équipement maison) en 2008 (fermé en 2019)
L’expansion de LDLC s’est également traduite par l’ouverture de magasins physiques. En 2006, la deuxième boutique du groupe ouvre à Paris. Un système de franchises est ensuite mis en place, aboutissant à plus de 50 points de vente en France.

Fin 2020, LDLC affichait des chiffres impressionnants :
- 724,1 millions d’euros de chiffre d’affaires
- 1 000 employés
- Plus de 50 000 produits référencés
- Jusqu’à 25 000 colis expédiés par jour
Le succès de LDLC repose sur plusieurs facteurs :
- Une vision stratégique claire
- Des acquisitions ciblées
- Une diversification des activités
- Un mix entre e-commerce et magasins physiques
LDLC a su s’adapter aux évolutions du marché de l’informatique et du commerce en ligne. Le groupe continue d’innover pour maintenir sa position de leader dans un secteur très concurrentiel.
Le management innovant de Laurent de la Clergerie et la semaine de 32 heures
Laurent de la Clergerie, président de LDLC, a pris une décision audacieuse en janvier 2021 : instaurer la semaine de 4 jours pour tous ses salariés, sans réduction de salaire. Cette initiative s’inspire d’une expérience menée par Microsoft au Japon.
Les résultats de ce changement ont été remarquables :
- Croissance de 6%
- Augmentation du résultat de 20%
- Bilan positif des embauches
- Aucune perte d’efficacité
Face à ces chiffres encourageants, l’entreprise a même revu à la hausse les salaires lors des négociations annuelles obligatoires de 2021.

Cette approche innovante du travail s’accompagne d’autres projets porteurs de sens pour Laurent de la Clergerie :
- Création d’une ferme avec des agriculteurs salariés
- Lancement d’un fast-food végétarien
- Engagement auprès de l’association Time for the Planet
La semaine de 32 heures est devenue un sujet de prédilection pour le dirigeant. Il la considère comme l’une de ses meilleures décisions en matière de gestion. Les équipes sont plus productives et épanouies dans leur travail.
Cette expérience réussie attire l’attention des médias. Capital a notamment interviewé Laurent de la Clergerie sur ce sujet.
Le président de LDLC ne s’arrête pas là dans sa quête d’amélioration des conditions de travail. Il cherche constamment de nouvelles façons de motiver ses employés et de créer un environnement professionnel positif.
Cette approche bienveillante du management montre qu’il est possible de concilier performance économique et bien-être des salariés. Elle ouvre la voie à de nouvelles réflexions sur l’organisation du travail dans les entreprises françaises.
L’École LDLC, le projet éducatif innovant de Laurent de la Clergerie
L’École LDLC, fondée en 2015 par Laurent de la Clergerie, offre une formation unique axée sur l’impact du numérique dans l’économie. Cette école propose un cursus de trois ans, reconnu par le ministère du Travail et inscrit au RNCP.

Le programme de l’École LDLC est diversifié et complet :
- Marketing et communication
- Technologies (algorithmes, IoT)
- Vie en entreprise
- Culture générale
Le processus d’admission comprend plusieurs étapes :
- Dépôt d’un dossier en ligne (frais de 50€)
- Tests en ligne (aptitudes, personnalité, jugement)
- Entretien de motivation
- Obtention du baccalauréat
Les frais de scolarité s’élèvent à 1 996€ par an, soit 5 988€ pour les trois années d’études. LDLC prend en charge une partie de ces coûts.
Les débouchés professionnels sont variés :
- Gestionnaire des marques
- Community manager
- Responsable de stratégie digitale
- Chargé de référencement web
- Chef de projets 3D
- Responsable de la virtualisation
Bien que l’alternance ne soit pas proposée, les étudiants doivent effectuer 40 semaines de stage durant leur parcours. Cette expérience pratique est essentielle pour préparer les futurs diplômés au monde professionnel.
L’École LDLC se distingue par son approche moderne de l’éducation, en phase avec les besoins du marché du travail dans le domaine du numérique. Elle offre aux étudiants l’opportunité de développer des compétences techniques et entrepreneuriales, tout en bénéficiant de l’expertise et du réseau du Groupe LDLC.
Les multiples aventures de Laurent de la Clergerie
Laurent de la Clergerie, le président de LDLC, ne se limite pas à une seule entreprise. Il poursuit sa passion d’entrepreneur à travers divers projets.
En 2011, il a lancé jaiplusdecroquettes.com avec sa femme, un site dédié aux produits pour animaux. Cette initiative a déjà mené à l’ouverture de magasins à Lyon et Bordeaux.
Un autre projet intéressant est Multiworld. À l’origine un concept de restaurant-squash, il s’est transformé en un espace de loisirs axé sur la réalité virtuelle. LDLC a racheté ce projet et prévoit d’en faire un véritable studio de jeux vidéo. Les visiteurs pourront y jouer aux créations du studio ainsi qu’à d’autres jeux sélectionnés.

Dans le domaine de la décoration d’intérieur, Laurent de la Clergerie et sa femme ont investi dans Sttanding. Cette boutique spécialisée pourrait devenir une chaîne de magasins dans le futur.
Ces diverses activités montrent l’esprit d’innovation et la volonté d’exploration de nouveaux marchés de Laurent de la Clergerie. Il ne se contente pas du succès de LDLC, mais cherche constamment à développer de nouvelles idées et entreprises dans différents secteurs.
La richesse de Laurent de la Clergerie
La fortune de Laurent de la Clergerie est étroitement liée au succès de LDLC, l’entreprise qu’il a fondée. Selon des estimations récentes, la valeur totale des actifs de la famille de la Clergerie atteindrait 138 millions d’euros.
Laurent, avec sa sœur Caroline, son frère Olivier et Suzanne, possède une part importante de LDLC :
- 40,07% du groupe
- Fortume estimée : 129 millions d’euros

La part personnelle de Laurent s’élève à :
- 19,2% de LDLC
- 1 216 746 actions
- Valeur approximative : 61,8 millions d’euros
Il est important de noter que ces chiffres ne tiennent pas compte des autres investissements de Laurent dans diverses entreprises. Sa fortune réelle pourrait donc être plus élevée.
La valeur de LDLC joue un rôle clé dans l’évaluation de la richesse de Laurent. En janvier 2022, la capitalisation boursière de l’entreprise atteignait 322 millions d’euros, soulignant son importance dans le secteur de la vente en ligne de produits électroniques.
Laurent de la Clergerie se transforme en Fabien pour Patron Incognito sur M6
Le président du groupe LDLC, Laurent de la Clergerie, a participé à l’émission Patron Incognito diffusée sur M6. Pour cette expérience unique, il s’est métamorphosé en Fabien, un demandeur d’emploi en reconversion.

Le dirigeant a poussé la transformation à l’extrême en se rasant complètement la tête. Cette décision radicale visait à garantir qu’il ne soit pas reconnu par ses employés.
Son immersion s’est déroulée dans deux sites clés de l’entreprise :
- Une boutique LDLC à Besançon
- Un entrepôt du groupe à Nantes
Cette aventure a permis à Laurent de la Clergerie d’observer de près le fonctionnement quotidien de ses équipes. Il a ainsi identifié les défis auxquels ses collaborateurs font face et mieux compris leurs besoins.
L’émission offre une opportunité unique aux dirigeants de grandes entreprises françaises de vivre le quotidien de leurs employés. Ils peuvent ainsi apporter des améliorations concrètes à leur organisation.
Résumé
Laurent de la Clergerie, président de LDLC, est un entrepreneur visionnaire qui a marqué le monde des affaires. Fondateur du groupe LDLC en 1996, il a su faire évoluer son entreprise en combinant e-commerce et magasins physiques. Son approche managériale innovante, comme la semaine de 4 jours, a attiré l’attention des médias et renforcé son image de dirigeant audacieux. Il est également à l’origine de l’École LDLC, démontrant son engagement envers la formation. Son passage dans « Patron Incognito » sur M6 a mis en lumière son implication auprès de ses équipes et sa volonté d’améliorer leurs conditions de travail.
Questions fréquentes
Quel a été le parcours de Laurent de la Clergerie ?
Laurent de la Clergerie a fondé LDLC en 1996. Il a transformé cette petite entreprise en un leader du commerce en ligne de produits informatiques et high-tech en France.
Son approche novatrice et sa vision à long terme ont été essentielles pour la croissance de LDLC.
Quelle est la valeur nette estimée de Laurent de la Clergerie ?
Les informations précises sur la fortune personnelle de Laurent de la Clergerie ne sont pas publiquement disponibles. En tant que fondateur et président du groupe LDLC, une entreprise cotée en bourse, sa valeur nette est probablement importante mais difficile à estimer avec certitude.
Comment Laurent de la Clergerie a-t-il fait grandir LDLC ?
Laurent de la Clergerie a :
- Misé sur le e-commerce dès les débuts d’Internet
- Élargi l’offre de produits au fil des années
- Ouvert des magasins physiques en complément du site web
- Acquis des entreprises complémentaires
- Innové avec des initiatives comme la semaine de 4 jours
Qui est la femme de Laurent de la Clergerie et quel rôle joue-t-elle ?
Caroline de la Clergerie, l’épouse de Laurent, est présidente du conseil de surveillance du groupe LDLC. Elle joue un rôle important dans la gouvernance et la stratégie à long terme de l’entreprise aux côtés de son mari.
Qui fait partie de la famille de Laurent de la Clergerie ?
Peu d’informations sont publiques sur la famille élargie de Laurent de la Clergerie. On sait que son frère, Olivier de la Clergerie, occupe le poste de directeur général au sein du groupe LDLC.
Que comprend le partenariat entre LDLC et ASVEL ?
Le partenariat entre LDLC et ASVEL inclut :
- LDLC est le sponsor principal de l’équipe de basket ASVEL
- Le nom de l’équipe a été changé en LDLC ASVEL
- LDLC a contribué à la nouvelle identité visuelle de l’équipe
- Ce partenariat augmente la visibilité de la marque LDLC dans le sport