Les 10 Cyclistes les plus Riches de France: Classement 2025 des Fortunes.
Cyclistes les plus Riches de France
Quels sont les cyclistes français (y compris les anciennes gloires à la retraite) qui affichent les plus grosses fortunes en 2025 ? Contrairement aux stars du football ou du tennis, les coureurs cyclistes ne deviennent pas souvent milliardaires, mais certains ont tout de même accumulé des fortunes considérables grâce à leurs salaires, primes de courses, contrats de sponsoring et investissements avisés. Tour d’horizon informatif et divertissant des 10 cyclistes les plus riches de France.
Les 10 Cyclistes Français les Plus Riches de 2025
10. Nacer Bouhanni – 2 000 000 €
Nacer Bouhanni ouvre ce classement avec une fortune d’environ 2 millions d’euros. Sprinteur réputé pour son tempérament de boxeur, Bouhanni a été champion de France et vainqueur de plusieurs étapes sur les Grands Tours. Ses victoires sur le Giro et la Vuelta lui ont permis de négocier de juteux contrats. Il a notamment touché l’un des plus gros salaires du peloton français chez Cofidis (on parlait d’environ 1 million d’euros par an à son apogée). Bouhanni a également pu compter sur des primes de victoire et quelques partenariats (équipementiers, vélos) pour gonfler ses revenus. Bien qu’il soit en fin de carrière sportive, son patrimoine accumulé lui assure une confortable sécurité financière.

9. Warren Barguil – 3 000 000 €
Le Breton Warren Barguil dispose d’une fortune estimée à 3 millions d’euros. Révélation du Tour de France 2017 avec deux victoires d’étape et le maillot à pois de meilleur grimpeur, Barguil a su capitaliser sur son succès. Ce grimpeur au grand cœur a signé ensuite chez Arkéa-Samsic en tant que leader, avec un salaire confortable à la clé. Ses revenus proviennent de son salaire de coureur, des primes liées à ses performances en montagne et de sponsors personnels dans sa région natale (il est très populaire en Bretagne).

Warren Barguil est encore en activité en 2025 et continue d’engranger des gains, tout en préparant déjà sa reconversion. On le voit par exemple investir du temps dans des événements cyclistes locaux, ce qui pourrait annoncer une carrière future dans le coaching ou l’organisation de courses, consolidant ainsi sa fortune.
8. Thomas Voeckler – 3 500 000 €
Ancien chouchou du public français, Thomas Voeckler a accumulé environ 3,5 millions d’euros de patrimoine. Coureur emblématique des années 2000-2010, il a porté le maillot jaune du Tour de France pendant 10 jours en 2004 puis à nouveau en 2011, marquant les esprits par son courage. Bien que ses salaires chez Bouygues Telecom/Europcar étaient modestes comparés aux stars internationales, Voeckler a su tirer profit de sa popularité médiatique.

Après sa retraite sportive, il est resté dans le milieu en devenant consultant TV et sélectionneur de l’équipe de France sur route. Ces nouvelles fonctions lui assurent des revenus réguliers. Ajoutez à cela son autobiographie à succès et quelques contrats d’ambassadeur de marque (notamment pour des équipements cyclistes grand public), et vous obtenez un capital qui reflète aussi bien sa réussite sportive que sa reconversion exemplaire.
7. Arnaud Démare – 4 000 000 €
Le sprinteur picard Arnaud Démare pèse environ 4 millions d’euros. Triple champion de France sur route et vainqueur de multiples étapes du Giro, Démare a longtemps été l’un des piliers de l’équipe Groupama-FDJ. Son salaire annuel a grimpé avec ses succès, atteignant les 7 chiffres (plus d’un million d’euros par an lors de ses meilleures saisons). À cela s’ajoutent les primes de victoire en course (notamment pour ses maillots distinctifs et ses victoires sur les Grands Tours) et le soutien de sponsors personnels.

Discret mais efficace, Arnaud Démare a également pu investir une partie de ses gains. Par exemple, on le sait amateur de voitures de collection, un domaine où il pourrait placer judicieusement son argent. Toujours en activité en 2025, il continue d’engranger des revenus et vise à enrichir encore son palmarès – et indirectement, sa fortune.
6. Richard Virenque – 5 000 000 €
Figure incontournable des années 90, Richard Virenque affiche une fortune estimée à 5 millions d’euros. Meilleur grimpeur du Tour à sept reprises, il a été l’une des stars les plus médiatisées du cyclisme français. Durant sa carrière, Virenque gagnait bien sa vie chez Festina puis Quick-Step, mais c’est surtout après sa retraite qu’il a su rester dans la lumière. Devenu consultant TV, participant à des émissions de téléréalité et lançant même sa propre ligne de bijoux à une époque, il a diversifié ses sources de revenus.

Richard Virenque a également travaillé sur des projets d’investissement ambitieux, comme la création d’un hôtel de luxe dans le sud de la France (preuve qu’il n’hésite pas à investir sa fortune dans des affaires). Malgré les aléas qu’ont pu connaître certains projets, l’« Enfant chéri » du cyclisme tricolore a su préserver un solide pécule. Sa notoriété lui permet encore aujourd’hui d’être invité sur des événements et opérations publicitaires, continuant de faire fructifier son capital.
5. Romain Bardet – 6 000 000 €
Avec une fortune d’environ 6 millions d’euros, Romain Bardet se place en 5ᵉ position. Grimpeur élégant et deux fois troisième du Tour de France (en 2016 et 2017), Bardet a été pendant des années l’un des meilleurs atouts français pour la Grande Boucle. Ses performances lui ont valu un salaire élevé chez AG2R La Mondiale, puis au sein de l’équipe DSM qu’il a rejointe par la suite. On estime qu’il gagnait autour de 2 millions d’euros par an à son pic de forme.

À ces revenus sportifs s’ajoutent des partenariats avec des marques liées au cyclisme et à l’outdoor – Romain Bardet étant connu pour son style de vie sain et son image de gentleman, des sponsors comme des fabricants de casques ou de vélos haut de gamme ont fait appel à lui. Par ailleurs, Bardet a préparé son avenir en suivant des études de management du sport et en s’intéressant à la filière vinicole (un secteur où plusieurs coureurs investissent par passion). Encore actif en 2025, il continue de rouler en performant au plus haut niveau, assurant le maintien et la croissance de sa fortune personnelle.
4. Thibaut Pinot – 7 000 000 €
Le chouchou des fans de cyclisme hexagonal, Thibaut Pinot, dispose d’une fortune d’environ 7 millions d’euros. Leader emblématique de Groupama-FDJ pendant plus d’une décennie, il a remporté des étapes mémorables (notamment sur le Tourmalet en 2019) et un Tour de Lombardie, et a terminé troisième du Tour de France 2014. Ses talents de grimpeur-puncheur lui ont valu un salaire conséquent atteignant les 2 millions d’euros annuels sur la fin de sa carrière.

Peu attiré par les paillettes, Pinot a toutefois monétisé sa notoriété à sa manière : participation au documentaire Netflix “Tour de France : Au cœur du peloton” (qui a accru sa cote de popularité), mise en avant de sa ferme et de sa passion pour les animaux (ce qui pourrait à terme ouvrir des opportunités de partenariat dans le domaine écologique ou agricole). S’il a fait ses adieux au peloton fin 2023, Thibaut Pinot ne manquera pas de projets pour la suite – des stages pour jeunes cyclistes à l’exploitation de son vignoble familial – qui pourraient bien étoffer encore sa richesse au fil des années, tout en restant fidèle à son mode de vie simple.
3. Bernard Hinault – 7 500 000 €
Légende vivante du cyclisme, Bernard Hinault arrive troisième avec une fortune estimée à 7,5 millions d’euros. Surnommé “le Blaireau”, Hinault a remporté cinq Tours de France (entre 1978 et 1985) à une époque où les salaires étaient certes plus modestes qu’aujourd’hui, mais ses exploits lui ont ouvert de nombreuses portes par la suite. Champion charismatique et dernier vainqueur français du Tour, il a longtemps touché des revenus en tant qu’ambassadeur du Tour de France (il montait sur le podium protocolaire aux côtés des vainqueurs, représentant l’organisateur ASO).

Il a également publié des livres, donné des conférences et mis à profit son image pour promouvoir des événements sportifs régionaux. Hinault, fidèle à ses racines bretonnes, a investi dans une ferme et des terres agricoles – un patrimoine immobilier qui fait partie de sa fortune. Toujours franc et direct, il est moins présent médiatiquement ces dernières années, profitant d’une retraite bien méritée. Néanmoins, ses placements judicieux et sa renommée éternelle lui assurent une assise financière solide, digne de son statut de champion hors norme.
2. Laurent Jalabert – 9 000 000 €
En deuxième position, Laurent Jalabert affiche une fortune d’environ 9 millions d’euros. Dominant le cyclisme dans les années 1990, “Jaja” a tout gagné ou presque : numéro 1 mondial plusieurs saisons de suite, vainqueur de la Vuelta 1995, champion du monde du contre-la-montre, sans oublier quatre maillots distinctifs sur le Tour de France (maillot vert et maillot à pois). Sa brillante carrière lui a permis de toucher de confortables salaires chez ONCE puis CSC, à une période où les top coureurs commençaient à bien gagner leur vie.

Après sa retraite sportive en 2002, Laurent Jalabert ne s’est pas reposé sur ses lauriers. Il est devenu consultant vedette à la télévision (notamment sur France Télévisions lors du Tour de France), ce qui lui assure un revenu régulier depuis 20 ans. Il participe également à des opérations marketing pour des cyclosportives qui portent son nom et collabore avec des marques d’équipement sportif. À cela s’ajoute une gestion prudente de son patrimoine: Jalabert a investi, entre autres, dans l’immobilier. Tout cela fait de lui l’un des sportifs français retraités les plus aisés. Son ton posé et son expertise continuent de séduire le public, prolongeant ainsi la valeur de sa marque personnelle bien au-delà des routes qu’il a parcourues.
1. Julian Alaphilippe – 10 000 000 €
En tête du classement, Julian Alaphilippe est le cycliste français le plus riche en 2025 avec une fortune estimée à 10 millions d’euros. Véritable rock-star du peloton depuis 2019, Alaphilippe a conquis deux titres de champion du monde (2020 et 2021) et multiplié les succès sur les classiques et le Tour de France (maillot jaune pendant 14 jours en 2019). Ces exploits lui ont valu un contrat en or au sein de l’équipe Deceuninck-Quick Step (devenue Soudal-Quick Step), avec un salaire avoisinant les 2,3 millions d’euros par an ces dernières saisons – l’un des plus élevés pour un Français.

Julian bénéficie aussi de contrats de sponsoring personnels très lucratifs: il est par exemple l’égérie de certaines marques en France et il roule sur des vélos de prestige fournis par Specialized. Passionné et charismatique, il a su négocier des primes et bonus confortables, et a probablement investi judicieusement ses gains (dans l’immobilier ou des entreprises, à l’instar de nombreux champions). À 32 ans, Alaphilippe est en pleine force de l’âge et continue d’écrire sa légende. S’il maintient son niveau et son image populaire, sa fortune pourrait encore grandir dans les années à venir, le solidifiant comme le cycliste tricolore le plus fortuné de sa génération.
Conclusion
Le cyclisme français démontre que la passion pour la course peut rimer avec réussite financière. Des figures emblématiques comme Julian Alaphilippe et Laurent Jalabert aux anciennes gloires telles que Richard Virenque et Bernard Hinault, ces athlètes ont su transformer leur carrière sportive en un patrimoine solide. Grâce à des salaires attractifs, des primes de performance, des contrats de sponsoring et des investissements avisés, les cyclistes tricolores, qu’ils soient en activité ou retraités, illustrent que même dans un sport où les revenus globaux restent plus modestes que dans d’autres disciplines, la détermination et la gestion intelligente des gains permettent d’amasser des fortunes considérables.
FAQ : La richesse des cyclistes français
Q: Quel est le cycliste français le plus riche en 2025 ?
R: D’après notre classement, le cycliste français le plus riche en 2025 est Julian Alaphilippe avec une fortune estimée à 10 000 000 €. Ce montant comprend l’ensemble de ses revenus accumulés au fil de sa carrière (salaires, primes, sponsoring et investissements).
Q: Comment les cyclistes professionnels gagnent-ils de l’argent ?
R: Les revenus d’un cycliste proviennent principalement de son salaire versé par l’équipe (souvent la plus grosse part), auquel s’ajoutent les primes de performance (victoires d’étape, classement général, maillots distinctifs, etc.) lors des courses. Ils peuvent également signer des contrats de sponsoring personnels avec des marques (vélos, vêtements, casques, boissons énergétiques, etc.), surtout s’ils ont une forte image publique. Enfin, certains investissent dans des activités annexes (entreprises, immobilier) pour diversifier leurs sources de revenus.
Q: Les cyclistes continuent-ils de toucher des revenus après leur retraite sportive ?
R: Oui, beaucoup de cyclistes retraités continuent à générer des revenus. Ils peuvent devenir consultants TV ou radio, entraîneurs ou directeurs sportifs au sein d’équipes, organisateurs d’événements cyclistes, ou ambassadeurs pour des marques. Certains monétisent leur notoriété via des livres, des conférences ou même en lançant leur propre entreprise. Ces activités post-carrière permettent de compléter les économies accumulées pendant les années de compétition et de maintenir un certain niveau de vie.
Q: Pourquoi les cyclistes ne sont-ils pas aussi riches que les footballeurs ou les stars d’autres sports ?
R: Le cyclisme, bien qu’extrêmement populaire, ne génère pas les mêmes revenus commerciaux que le football ou le basketball par exemple. Les droits TV et les sponsors dans le cyclisme sont moins élevés, ce qui se répercute sur les salaires des coureurs (qui restent confortables pour les meilleurs, mais sans commune mesure avec ceux des footballeurs de haut niveau).
De plus, un cycliste n’a qu’une carrière limitée en termes de pics de performance, et les risques (chutes, blessures) sont élevés. Néanmoins, les champions cyclistes compensent parfois avec leur image de héros populaires et une reconversion réussie, ce qui peut leur assurer un patrimoine appréciable, même s’il est moindre que celui des stars du foot.